Nina K. Ewis
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| Sujet: You make me sick {Jhanuem Jeu 9 Juil - 20:37 | |
| - C’était une journée banale, trop banale. Le ciel était gris, nuageux, il y avait quelques averses, de temps en temps. Déjà les pigeons roucoulaient sous les fenêtres de cet ancien asile psychiatrique. Ces put*in de pigeons ! Qui avait réveillé Nina ! Il était à peine 9h, et déjà la demoiselle c’était réveillé à cause de ses bruits. Elle s’était donc levée, elle avala un petit paquet de biscuit, de sa réserve personnelle, puis elle alla se laver. Elle enfila un jeans, et un chemisier blanc, dont elle retroussa les manches jusqu’au coude. Elle détestait avoir des manches trop longues, ça la gêné. Bref, après son petit rituel du matin, elle alla se promener. Et oui, a presque 10h, seule, derrière ce vieux bâtiments. D’ailleurs, assise sur un banc derrière l’asile, elle remarqua que la peinture s’effritait, et qu’a quelques endroit les murs se fissurait. Bon, et puis quand elle vu que personne ne venait, pas un seul pointez le bout de son nez, elle décida de repartir, et de vagabonder en ville.
C’est alors, en repassant dans le hall, qu’elle aperçue en escalier descendant. Intrigué, elle fronça les sourcils, depuis qu’elle était ici elle n’avait jamais vu cet escalier. Il y avait donc un sous-sol. Curieuse de nature, elle descendit quelques marches. Elle aperçue donc, une vaste étendue noire. Elle appuya légèrement sur un interrupteur, et les néons accrochés au plafond s’allumèrent, tous dans un cliquetis. Elle put donc voir un long couloirs, crasseux. Il y avait une bonne couche de moisissure et de poussière sur les murs et le sol. Dans un coin, il y avait un vieux chariots en inox, lui aussi crasseux. Nina descendit alors les quelques marches, dans le fond du couloir il y avait deux fauteuils, et quelques journaux entassés dans un coin. Elle garda ses sourcils froncés, et fit le tour pour voir tout ce qu’il y avait devant elle.
C’est alors qu’elle aperçue une série de porte, comprenant des petits carreaux. Ceux-ci étaient bien trop sale et poussiéreux pour espérer voir à travers. Elle poussa alors la premières portes sur sa droite. Celle-ci n’était pas fermer et elle s’ouvrit. La jeune femme, très intrigué entra dans la pièce. Au milieu il y avait un lit, enfin ce qui ressemblait à un lit. Ou non, plutôt une table, comme une table d’opérations. Il y avait des poignées en cuir, comme pour attacher quelqu’un, un fou, n’oublions pas que l’on est dans un vielle asile. Autour de « la table », il y avait un vieux chariot, plein de seringue, de pansements, des choses de médecines. La jeune femme contempla le reste de la pièce, et aperçue dans un coin, posé sur un fauteuil d’ancienne camisole de forces. Il devait y en avoir quatre ou cinq. La jeune femme eut un frissons… Elle adorait tout ce qui faisait peur, même si en faite, c’est une vrai trouillard qui sursaute au moindre bruit.
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